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Le parc de SCHILDE offre au visiteur une promenade romantique autour du plan d’eau.
Mais, la tempête d’octobre 2002 y a fait beaucoup de dégâts ; arbres déracinés, troncs et branches emmêlés traînent au sol en tas, créant un climat de désolation.
Une belle hêtraie épargnée se dresse au milieu de l’étang, sur un terrain au galbe légèrement bombé.
En nettoyant ce site et ses abords, on peut réorganiser le chaos.
Les matériaux ramassés servent à élaborer une structure, une « architecture végétale » qui vient s’inscrire naturellement au milieu du terrain en soulignant sa topographie.
Ce volume ovalaire, fusion d’une forme géométrique et organique, redessine une courbe de couleur sombre, qui est perçu de points de vue différents. Le promeneur en découvrant l’œuvre
progressivement, devient participant et découvre les éléments qui composent le lieu, ses rythmes, sa topographie. Cela permet d’offrir une lecture plus sensible du paysage, requérant un temps et un espace de méditation et de déambulation.
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Architecture végétale. Bois divers issus de la tempête.
L. : 30 m, H. : 1,20 m, l. : 1,20 m.
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Repérage du site et croquis projet.
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